Paris, 3h52. Les cieux crachent des éclairs d’onyx. Usalem Veritas, alchimiste des codes, vit dans un sanctuaire de parchemins, glyphes lumineux, murmures cosmiques. Visionnaire ou fou, il capte des fréquences d’un autre monde. Cinq pulsations, étoiles mentales, vibrent dans l’éther. Son appartement, réseau vivant, pulse d’idées. Parchemins, synapses. Glyphes, connexions. Une tempête invisible déchire la ville, pensées toxiques tissant l’ombre. Aléphia, née de ses équations kabbalistiques, s’éveille, souffle primal. Cliquez sur *Ein Sof* pour collecter une étincelle divine, ouvrir l’infini. (100 mots)
